Une lycéenne de l’Isère a dû être temporairement déscolarisée après qu’elle ait fait l’objet de menaces attentatoires à son intégrité. Tout est parti d’une vidéo fortement relayée sur les réseaux sociaux et dans laquelle l’adolescente tenait des propos virulents et hostiles à l’islam.
L’Union des Mosquées de France réaffirme que rien ne saurait justifier les menaces de mort à l’égard d’une personne quelque soit la gravité des propos qu’elle aurait tenus.
Si ces propos relèvent de la provocation à la haine, c’est à la justice que revient la prérogative de leur qualification et les mesures qui s’imposent dans cette affaire.
Fait à Paris le 23 janvier 2020
L’Union des Mosquées de France (UMF)